L’une des choses à savoir sur Akemi pour ne pas avoir de désagréable surprise, c’est que cet homme change d’humeur plus vite que de chaussette ; lui ne se lève pas du pied gauche et est d’humeur de chien toute la journée, ah non, il est piqué le plus souvent par une mouche invisible qui le rend d’un coup soit sympathique soit exécrable. Un rien lui suffit ; un mot un peu trop ambiguë, un froncement de sourcils inexpliqué et s’en est fini, le voilà tout aussi accueillant qu’un gros berger allemand affamé. Une fois ce cap passé, on peut découvrir d’autre pans de la personnalité de ne monsieur ; lors de ses bons moment il se révèle être quelqu’un d’assez attentionné, dans le sens où il tentera de vous apportez ce que vous désirez, essaie de deviner ce que vous avez dans le crâne pour mieux vous comprendre et vous maitrisez. Mais cela n’a rien de gratuit ; en effet le petit Akemi aime connaitre les gens afin de mieux les guider pour qu’ils aillent dans le sens que lui désir ! Ce qui fait au final que toute la gentillesse et l’affection dont il est capable sont juste des comportements pour nourrir ses cotés calculateur et profiteur. Prenons le cadre de la relation amoureuse ; ce qui intéresse le jaune le plus souvent c’est le dit acte sexuel, il sera donc capable de ce faire doux et conciliant un long moment pour obtenir ce qu’il veut ! Mais il ne faut pas croire non plus qu’une fois l’acte consumé, la personne n’aura plus de valeur à ses yeux, au contraire, elle fera partie de ses personnes dont il aimera s’occuper. C’est un possessif ; une fois que vous rentrez dans sa vie pour quelconque raison si Akemi a envie de vous y gardez pour différents desseins, il ne fera insistant voir même lourd pour que vous en partez jamais trop loin ! Vous lui appartenez et puis c’est tout. Dans le même sens, le nippon estime que tout lui est dû, qu’il peux consommer ce dont il a envie sans même pensé à autre chose que son bon plaisir, pas de place pour les convenances ou les remords chez lui. Vous l’aurez compris, au final ce bon Akemi se fait comédien et est sans doute capable de tout ce dont vous avez envie de voir de lui ; de la gentillesse, de franc parler ou mensonge … Grand colérique, ce qui insupporte le plus c’est qu’on lui file entre les doigts , c’est son talons d’Achille que de lui faire résistance.

Le petit Akemi a un physique assez commun pour un japonaise ; il n’est pas très grand pour un homme, environ un mètre soixante dix, mais ce n’est pas un nain pour autant, grand bien lui fasse ! Coté carrure, ce n’est pas trop ça non plus, le nippon a beau eu faire un peu de musculation pour en imposer un peu plus, il demeure assez mince, sans être maigre. Mais ce travail n’a pas était vain ; Akemi a une sacré poigne ! Cela peut surprendre des fois … Sa peau de ce monsieur est un peu teinté, de ce jaune propre au asiatique de ce coté là de l’océan, sans que ce soit trop prononcé non plus pour le cas qu’Akemi ; mais si par tout les hasards du monde il se trouvait à coté d’un occidentale, sa teinte se démarquerait de suite. Parlons-en de sa peau justement ; celle-ci est tatouée. Monsieur en effet a le petit kiff de graver dans sa peau un bon nombre de chose qu’il aime bien, pour le petit coté rock’n’roll. C’est pourquoi il a deux manchettes, une à chaque bras quoi, composé de toute sorte de chose ; des cranes, des inscriptions, des arabesques. Toute une cascade de motifs ! Allons du dos de la main et recouvrant l’épaule entièrement. D’autre tattoos se baladent ; sur les phalanges des doigts et derrière les oreilles. Son visage est plutôt ovale ; fourni d’une petite barbichette, le reste est tout ce qu’il a de plus japonaise ; yeux fins et de couleurs noisette foncée, nez plus ou moins aplati et cheveux brun. Cheveux mi long qu’il colore et décolore parfois dans l’envie lui prend, le dégradé de sa coupe lui fait souvent avoir des mèches dans la figure, bravo l’artiste ! Coté fringues, Akemi ne se prend pas trop la tête, pour lui on a pas inventé mieux que les jeans bien coupés et les chemises, il mixe donc les deux avec des jeans parfois noir, parfois bleu, des chemise foncées, ou de bucherons … Des petits vans noirs aux pieds puis il est content. Il se fait plus exigent pour les bijoux ; il aime choisir de belle chaine à mettre autour du cou, en bracelet, des bagues également, serties d’onyx noir, ça c’est le pied !

Mis a part quelques détails prés, l’enfance d’Akemi se passait plutôt bien ou plutôt elle se passait comme se passe toutes les enfances en général ; sans trop d’encombre. Il était le premier fils d’un couple de tokyoïtes des plus communs ; les deux s’étant rencontrés dans l’entreprise ou ils travaillaient. Bref, blahblah tout se passa. Le premier événement qui troubla la paix d’Akemi fut la naissance de sa petite sœur lorsqu’il eut sept ans. Jaloux comme pas permis, pour lui ce braillard n’était qu’un fardeau imposé par une puissance supérieur pour lui pourrir la vie et l’empêcher de profiter comme il se doit de ses parents. Tout ça pour dire que depuis le début entre lui et sa petite sœur ce n’était pas trop ça et au fil des années tout se faisait de manière à ce qu’ils ne puissent pas se sentir. Même à ce jour Akemi a un peu de mal avec elle, lui trouve tout les défauts du monde. Le deuxième élément qui perturba un peu le petit jaune lors de son développement fut la séparation de ses parents. Les couples qui se séparent, c’est de plus en plus commun, mais cela reste néanmoins un choc pour les enfants le vivant ; ce fut le cas pour Akemi du haut de ses douze ans ;

Une certaines journée de printemps, tout le monde était à sa place ; le père au boulot, les enfants à l’école et la mère à la maison – puisque celle-ci était devenu femme au foyer pour des raisons diverses et variés.- . Dans cette maison, tout était mis en place à l’avance, pas vraiment de temps pour l’improvisation ici, c’est pourquoi dès qu’un événement imprévu arrivait, ça chamboulait l’équilibre de tout le monde. Enfin, surtout celui des parents. Donc, ce jour là contre toute attente, alors que le petit nippon se rendait à son club de l’après midi, oh surprise ; le professeur était absent. Bon nombre de ses camarades avaient décidés d’aller dans d’autres groupes à la place, mais lui, décida de rentrer chez lui. Pour épater sa sœur tient !
Direction la maison d’un pas assuré ; froush froush froush. En moins de vingt minutes il arrivait devant la porte d’entré de son logis, fier comme un coq de pouvoir dire à sa mère qu’il avait pût rentrer plus tôt ! Grande fut sa surprise en rentrant de trouver la maison vide, sans un bruit. Il traversa toute la maison en catimini pour finalement trouver sa mère sur le sofa, à califourchon sur un homme –autre que le père. Grand moment de solitude. Se solda un divorce douloureux, tiraillé entre les deux parents.

De cette sale expérience, Akemi garda une mauvaise image des femmes en général. C’est pourquoi à ce jour il les considère comme impropre à une réelle confiance. Chose qui se senti dans son adolescence au moment des flirts et ce genre de chose. Flemmard comme pas permis, Akemi s’arrêta au lycée pour les études, n’ayant pas le courage de se lancer dans les grandes études. C’est pourquoi son rêve de richesse reste au rang d’espoir car il ne se bouge pas réellement pour amasser de l’argent. Mais cela lui convient pour le moment. Les années passaient, il enchainait les boulots sans grande qualification.

La vie du jaune étant assez simple, l’un de son intérêt principal resta les femmes. Même les trouvant le plus souvent bête, il a toujours aimé les posséder le plus possible, que ce soit physique ou mental. C’est son petit plaisir, son petit jeu où il se piqua plus d’une fois ;

Vers ses 30 ans, donc il y a peu de temps, Akemi avait réussi à rester dans une relation dites stable, rester avec la même personne trois années durant. Si bien que sur un coup de tête qui ne lui ressemblait pas du tout il le fiança à cette femme. Ce fut en gros un combat acharné entre ce que lui désirais au fond, ses désirs crapoteux, contre ce que demandent les gens, de la stabilité. Il avait réussi à se convaincre que tout allait se passer pour le mieux. Si bien que le mariage eut lieux ! Avec tout le blahblah qui va avec. C’est qu’un pas incertain qu’Akemi se dirigeait vers la vie de jeune époux, étouffant ses instincts de gros salop.

Malgrés tout ses efforts, cela ne dura pas. En effet, le divorce pointa le bout de son nez à peine un an après le mariage ! Et pour cause, le jaune était voir ailleurs et madame avait fini par le savoir. Divorcé, le petit Akemi se retrouve dans un Tokyo noyé de bonne volonté, avec ce site justement – Tokyo dreamer – qu’il a déjà consulté, mais qu’il ne peut pas supporter, considérant que ce site est juste bon pour les gros geeks.

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